En ce matin de Pâques, je ne voudrais pas paraître présomptueuse en utilisant le mot résurrection. Je suis bien consciente de l’importance qu’il revêt au cœur des Chrétiens. Or, aucun autre mot ne semble exprimer avec justesse ce que je veux vous partager.
Mes états
Je vous partage mes peurs, mes angoisses, mes joies, mes rêves, dans l’espoir de vous aider à composer avec votre vulnérabilité, cette part de nous-même qu’il nous est si difficile d’accepter.
Trouver mon équilibre
Après 10 mois de pandémie, de restrictions, d’adaptation, parvenez-vous à maintenir votre équilibre ? Au cours des dernières années, je me suis souvent entendue répéter : « L’équilibre ?!? Je n’y pense même pas. J’aime mieux gérer mon déséquilibre ! C’est déjà assez compliqué d’même ! »
La gratitude
Chère Année 2020,
Il ne reste que dix jours avant que tu tires ta révérence, et crois-moi, plusieurs se réjouissent à l’idée que ton règne s’achève. Avec la pandémie, tu nous as fait vivre des bouleversements qu’on ne pouvait imaginer. Toutefois, je m’en voudrais de te laisser partir sans t’exprimer ma profonde gratitude.
Ma réconciliation
Après avoir écrit cette lettre à mon enfant intérieur, je me suis sentie sereine. Je me suis vue, dans la maison de mon enfance, prendre soin de mes poupées durant des heures… les coiffer, les habiller, leur créer une vie. J’ai revu tous ces jeux que j’inventais avec mes frères et mes voisines, nos aventures à l’île secrète, nos virées à vélo. Comme j’étais libre ! Comme j’aimais jouer sans me soucier du temps !
Mon enfant intérieur
Miroir, miroir…
Le 28 juin 2019, j’ai vécu une expérience spirituelle si intense que je n’ai pas encore osé la raconter. Je craignais que les mots la figent et lui fassent perdre sa magie. Je dois également admettre que j’avais peur d’être jugée… Je n’ai pas encore eu le courage de parler ouvertement de ma spiritualité, mais si je veux poursuivre mon aventure en étant sincère et connectée à mon cœur, je choisis maintenant d’ouvrir cet espace.
Une fête de lumière
Cette fête de Pâques est la plus lumineuse que j’aie vécue durant mon enfance. Généralement, dans ma famille, Pâques était célébré le dimanche midi. Toute la parenté arrivait après la messe. C’étaient des embrassades et des éclats de joie, des cris d’enfants et des saveurs exquises jusque tard dans l’après-midi.
Dans tous mes états!
Jamais mon blogue n’aura si bien porté son nom, car je suis littéralement dans tous mes états, comme plusieurs d’entre vous j’imagine… La situation que nous vivons me semble irréelle. Il y a un mois à peine, je n’aurais jamais cru que les écoles, les commerces et les frontières puissent fermer, que je serais confinée à la maison, bref, que ma vie entière serait transformée.
Le courage d’écrire
Quatre mois. C’est le temps qu’aura duré mon silence. Et il aura fallu le courriel de Jacqueline, une amie et fidèle lectrice, pour que je trouve le courage d’écrire à nouveau.
Ce livre dont j’ai tant rêvé…
J’avais honte d’avoir tant parlé de ce livre et finalement, de ne pas réussir à le faire publier. L’idée du blogue, c’était d’abord et avant tout, l’envie d’écrire mon premier livre. Et comme je n’y arrivais pas seule, paralysée que j’étais par mes standards de perfection inatteignables, j’ai décidé de partager mes textes ici pour voir comment ils seraient reçus…